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Il existe une incohérence, ou plus, une contradiction entre, d’une part, les faits et gestes tangibles de la vie quotidienne, les us et coutumes individuels des gens ordinaires et, d’autre part, leurs transcriptions obscures au sein des rapports et discours publics de la noblesse d’état, une ‘moraline’ souvent sur-médiatisée.

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On ne peut rester sans questions:
Comment un tel fossé, entre les masses et les élus de toute obédience, a-t-il pu, ainsi, se creuser?
Comment le sens obvie de la démocratie, de la culture, des savoirs, est-il entendu chez nos maitres d’œuvre?
Leur écriture est étouffée.
Leur langue est édulcorée.
Ils traitent d’une réalité fourvoyée et ouvrent une plaie béante, au creuset même, de la cohésion populaire.
Ils entrainent inévitablement, un grand nombre de citoyens, vers la nausée démocratique et les raccourcis intellectuels et spirituels.

Quelles seront les conséquences sur une union sociale et nationale désorientée, désabusée?
S’agirait-il, en vérité, d’un champ de bataille idéologique, ‘new âge’, travesti par les médias de masse et les discours ineptes de politiciens, d’argentiers et moralistes actuels?
Cette manifestation socio-culturelle est une stratégie politique, aucun des mécanismes discutés n’étant nouveau.

L’emploi du concept polysémique, le ‘politiquement correct’, est ici nécessairement requis pour les distinguer. Emprunté au jargon stalinien (1930), ce concept faisait référence à un état d’obéissance et de soumission aveugles qui s’alignait sur l’idéologie dogmatique imposée par le comité central du parti communiste. Dans l’Union Soviétique, les régimes politiques imposaient leur propre idéologie, niant les besoins, intentions, actions et sentiments réels de la grande majorité de leurs citoyens. Au bout du compte, la liberté individuelle est devenue prépondérante et essentielle, la lutte pour les droits de l’homme et du citoyen est devenue salutaire. La bienveillante liberté est devenue la plus haute valeur et vertu, laissant, loin derrière elle, l’égalité «communiste».

Aujourd’hui, le politiquement correct est un acteur au rôle bien défini et au scenario préfiguré sur la scène occidentale. Causalité bien ordonnée commence par plaider ses effets, une sensibilité et une dignité pour tous ceux menacés de discrimination en raison de leurs différences. On allègue la légitimité de leur altérité pour prévenir toute perspective diffamatoire à leur égard.
A l’origine, on y relève une bonne intention justifiée par le souhait d’établir des relations plus justes entre les individus. Avec le temps, le sujet prend des formes épineuses, se gâtent et s’exacerbent, beaucoup commencent à dénoncer une emprise sociale sur la liberté d’expression populaire. La bien-pensance exige de jeter le discrédit sur tout débat ou toute nuance! Nait alors une polarité dangereuse entre ceux qui légitiment ce politiquement correct et ceux qui remettent en question le devenir de son bien-fondé. En plaçant l’’égalitarisme’ «néolibéral» au-dessus de la liberté elle-même, la tension entre égalité et liberté s’intensifie au nom de ces approches opposées de la démocratie.

Un gouvernement et ses institutions peuvent prendre des mesures pour rectifier les perceptions, attitudes et comportements inappropriés, en remplaçant certains termes par d’autres expressions qui pourraient améliorer, ou mettre en valeur, l’image des personnes ou des actions considérées comme sous-évaluées.
George Orwell était écrivain, penseur, mais aussi praticien du langage. Dans son roman «1984», il invente la «novlangue», un langage dont le but est l’anéantissement de la pensée, la destruction de l’individu devenu anonyme, l’asservissement du peuple. Réflexions sur le pouvoir des mots.

Syme (du Service des recherches au Ministère de la Vérité) : « Nous détruisons chaque jour des mots, des vingtaines de mots, des centaines de mots. Nous taillons le langage jusqu’à l’os. (…) Ne voyez-vous pas que le véritable but du novlangue est de restreindre les limites de la pensée ? A la fin, nous rendrons littéralement impossible le crime par la pensée, car il n’y aura plus de mots pour l’exprimer. (…) La révolution sera complète quand le langage sera parfait.»

Dans le même temps, Victor Klemperer, né le 9 octobre 1881 à Landsberg, alors dans l’Empire allemand, et mort le 11 février 1960 à Dresde, à l’époque en Allemagne de l’Est, est un écrivain et philologue allemand. Romaniste éminent, il est l’auteur notamment d’un essai, ‘Lingua Tertii Imperii’, décryptage de la novlangue nazie utilisée comme moyen de propagande.
Notre espace public actuel est également occupé par une multitude de nouvelles langues correctes de droite ou de gauche.

L’exemple facilement identifiable en est le langage managérial avec ses termes d’excellence, de performance et de productivité. De cette façon le langage, politiquement correct, autorisé à notre époque, peut facilement être en conflit avec:
La façon authentique de parler des gens ordinaires;
Les mots permettant de critiquer ou de remettre en question ces nouveaux termes;
Le langage comme «lieu» de réflexion et d’analyse.
Y a-t-il conflit et convergence, entre les nouveaux journaux de droite et de gauche?
Ont-ils les mêmes dénominateurs communs, les mêmes moyens de communication, visant une rationalisation excessive, une administration et un contrôle stricts des représentations et des mots exprimés publiquement?

Les relations sociétales entre groupes majoritaires et minoritaires sont-elles toujours inversées par une valorisation unique de ces derniers?
Qui représente qui?
Existe-t-il des limites au-delà desquelles les réseaux de nécessité politique deviennent autoritaires et contraignants?
Quels sont les mécanismes démocratiques qui permettraient d’interroger et de débattre?
Comment éviter la fracture sociale?

La ‘novlangue’ facilite le politiquement correct, ses formules sont assez sournoises, la langue de bois véhicule des déclarations insensées, vagues et amovibles, évitant l’articulation de ce qui est réellement signifié.

Ces deux figures linguistiques se confondent facilement: leurs assertions sont transies, rigides, sclérosées, répétitives et n’interpellent ni notre compréhension ni notre intelligence. Le défaut de légitimité devient un code, un jargon de généralisations, d’euphémismes et de clichés.
Orwell disait que le langage qui est parlé à la télé, qu’on entend à la radio, qui est utilisé dans la presse, est finalement un langage qui oriente votre pensée. Faites attention à la façon dont vous parlez, faites attention aux mots qui vous sont répétés. Et j’aime beaucoup cette idée que tout peut finalement passer par le langage et qu’on peut vous décerveler complètement : non pas en vous racontant des histoires, mais en utilisant les mots dans un sens qui pervertit la langue et qui lui donne un pouvoir sur la liberté de l’individu.

Le répertoire utilisé dans les discours politiques, économiques ou médiatiques grouille d’intentions et d’engagements nuls et non avenus.
L’assimilation sociale est glorifiée et, dans un même temps, la soumission et l’inertie des citoyens sont sollicitées.

En fait, cela dirige vers une lassitude constante et des rivalités récurrentes. En conséquence, la qualité de l’éducation dans nos sociétés est remise en question. Quelle liberté d’expression et de conscience nos universités offrent-elles, dans un tel cadre ?

Quel type de spécialistes obtient son diplôme?
Les cercles universitaires ne peuvent être avenants envers le politiquement correct, en particulier parce qu’il entraîne l’évitement et l’autocensure, restreignant la liberté académique des professeurs et leur choix de sujets de recherche.

Le langage est-il uniquement cet instrument nous permettant d’exprimer nos idées sur la liberté ou le lieu même où nous nous devons d’exprimer cette liberté?
Les nouvelles projections sur l’existence humaine ont façonné une nouvelle norme de dé-contextualisation, à mesure que les causes historiques et sociales sont effacées, systématiquement gommées de la mémoire ancestrale.

Quel sera donc l’impact sur notre façon de lire, d’écrire et de penser notre Histoire, le sens que nous concevons dépendra, bien malgré nous encore et toujours, du contexte et des occurrences?
Faut-il tout revoir et se soumettre à une seule perspective, être appréhendé par la pensée unique?
La puissance dogmatique, exigeant la soumission de l’intérêt public à une «nomenklatura spécialisée» de personnes, est-elle une élite administrative ancrée dans cette dé-contextualisation?

Une grande majorité du vocabulaire possède une nature positive, protège-t-il les individus contre les écarts de comportement jusqu’à ce que des formules acceptables bien-pensantes commencent à raisonner à leur place?
Les gens ne trouvent plus les mots pour s’exprimer sans insulter lorsqu’ils sont en désaccord ou provoqués. Nous pouvons facilement remarquer combien d’individus dans nos sociétés deviennent indifférents et insensibles, voire apolitiques.

Faut-il être contraints à ce silence public exigé par le politiquement correct ou faut-il le contester par nos actions citoyennes, notre résistance civile?
Est-ce le rôle de l’insatisfaction populaire?
De quel type de pensée critique avons-nous besoin dans ce contexte global de rigidité politique qui cache la pluralité des opinions?

Beaucoup diagnostiquent une crise mondiale de la communication.
Comment sommes-nous parvenus à une telle réalité où l’échange publique se construit exclusivement sur le tolérable et la manipulation de masse, la ‘novlangue’, les fausses nouvelles et la langue de bois?
Les réactions viscérales des gens ordinaires s’accumulent et les messages insultants auxquels nous sommes constamment exposés sur les réseaux sociaux deviennent insupportables.

Ces effets et résultats réels sont la preuve tangible de cet échec idéologique, de ce si politiquement correct!

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