🟦 ANNONCE 🟦

L’ agence de presse iranienne Tasnim a écrit:

Soyez le premier informé - Rejoignez notre page Facebook.
Des sources bien informées ont déclaré à Tasnim qu’Amano aurait été «éliminé» par le régime israélien afin que l’agence nucléaire de l’ONU puisse avoir un nouveau chef. 

Le regretté secrétaire général japonais de l’AIEA se serait dressé contre les “pressions lourdes exercées par les Etats-Unis et Israël pour ouvrir un faux procès contre l’Iran sur le dossier nucléaire”, ont indiqué les mêmes sources.

Amano serait mort d’un cancer. Bien que l’histoire soit absurde, il n’y a qu’un seul pays qui ait déjà menacé la vie d’Amano et ce pays est l’Iran.
Farsnews d’Iran a écrit en 2015:

” Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Yukiya Amano, n’a pas révélé les secrets de son récent accord avec l’Iran au Congrès américain, craignant de conséquences, a déclaré lundi un porte-parole iranien. 

“Dans une lettre à Yukiya Amano, nous avons souligné que si les secrets de l’accord (feuille de route de la coopération entre l’Iran et l’AIEA) étaient révélés, nous perdrions notre confiance en l’Agence. Malgré les pressions du Congrès américain, il ne donnerait pas les informations “, a déclaré lundi à l’AFP,  Behrouz Kamalvandi, porte-parole de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (AEOI), lors d’une réunion avec les législateurs iraniens à Téhéran. 

Kamalvandi a déclaré que révéler les secrets de la feuille de route n’aurait pas été une bonne chose pour lui non plus.

L’article original a été cité à l’époque avec Kamalvandi qui a dit  explicitement ,qu’il pourrait être blessé. 

L’Iran s’est littéralement vanté d’avoir menacé la vie de responsables de l’AIEA si les accords secrets étaient dévoilés. Ces accords ont ensuite été révélés comme permettant à l’Iran d’auto-inspecter certaines installations avec des exemptions supplémentaires lui permettant de se conformer à la loi lors de la journée de mise en œuvre du 16 janvier 2016, permettant ainsi à l’Iran de bénéficier d’une levée de 100 milliards de dollars de sanctions et de 400 millions de dollars Ransm pour les otages américains.