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Le mouvement BDS n’est clairement pas satisfait de la pandémie de coronavirus. Pas car ce virus a le potentiel de tuer des centaines de milliers, voire des millions de personnes mais car ce mouvement est préoccupé car la pandémie détourne le monde de ce qui est vraiment important pour eux : haïr Israël, le grand impératif moral de notre temps.

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Ils ont donc mis en place un webinaire , au cours du mois de ce qui aurait été la “Semaine de l’apartheid d’Israël” sur les campus, pour essayer de s’assurer que leurs troupes aveugles ne soient pas distraites par des problèmes mineurs comme essayer de se protéger ou de protéger leurs proches.

Sécurité! Racisme! Le mur! Solidarité! Pandémie! Sûrement l’un de ces mots-clés ou la photo attirera les gens à écouter encore plus de haine enragée pour Israël!

Voici la description:

Pour la Semaine israélienne de l’apartheid 2020, Rebecca Vilkomersen et Khury Petersen-Smith exploreront le concept de sécurité et les moyens racistes de son déploiement, et examineront la solidarité comme contrepoint. Ils discuteront de la pertinence de ces concepts en cette période de pandémie mondiale et partageront des stratégies de résistance non violente contre le racisme, conformément au thème de la Semaine israélienne de l’apartheid de cette année, United Against Racism.
Les ironies sont trop nombreuses pour compter. Alors que le monde entier essaie de se protéger contre un virus mortel, BDS veut faire valoir que la sécurité est du racisme – et la seule raison pour laquelle ils disent cela, c’est parce qu’Israël met l’accent sur sa sécurité, il doit donc se tromper.

En contrepoint, ils suggèrent la «solidarité», mais ils sont contre Israël coopérant avec les Palestiniens pour lutter contre la pandémie. (Vous pouvez être sûr qu’ils ne diront pas un mot sur la façon dont l’UE s’est fragmentée alors que chaque pays membre a choisi de se défendre plutôt que le continent.)

Enfin, ils affirment qu’ils sont contre le racisme quand toute la  raison d’être du BDS et ce séminaire vise à inculquer et à renforcer une haine folle et illogique contre l’État juif – une haine irrationnelle qui est psychologiquement identique à la haine pour les personnes de couleur ou les gays.

Si quelqu’un veut perdre une heure de sa vie, j’aimerais savoir combien de personnes se présentent réellement pour cela – et combien de personnes y a t’il dans le fuseau horaire de “Palestine Time”.