Un gazaoui est entré en Israël avec sa mère malade, a brûlé un bus, jeté des Molotov à Souccot, et planifié des attaques terroristes majeures

Suleiman Kasab, de Khan Younis, est entré en Israël en janvier 2020 avec une autorisation humanitaire en tant qu’accompagnateur pour sa mère, qui souffre d’une maladie grave et aurait été soignée dans un hôpital israélien.

Kasab était en contact avec la branche des Brigades des martyrs d’Al Aqsa à Gaza, dont il était apparemment membre à Gaza. Il les a contactés pour leur demander comment il pouvait être utile dans la perpétration d’attentats terroristes. Selon l’acte d’accusation, le chef du groupe terroriste Abu Abu Saif al-Din lui a dit de faire profil bas et a déclaré qu’il lui fournirait des armes et de l’argent.

Kasab s’est caché dans la ville mixte arabo-juive de Ramle.

La correspondance entre le terroriste et son mentor de Gaza sur l’application Signal a montré qu’ils avaient discuté de nombreuses attaques potentielles, notamment le fait de faire exploser des réservoirs de carburant dans un kibboutz pour faire de nombreux morts, des attaques par balle, et l’enlèvement et le meurtre d’un juif afin d’utiliser le corps pour négocier de libérer les prisonniers.

Il semble que Kasab se soit impatienté et ait décidé de lancer un incendie criminel à Ramlé. Il a mis le feu à un bus, puis il a lancé une série de bombes incendiaires sur les habitants à Souccot, pulvérisant des graffitis indiquant que « le Fatah était là ».

Lorsque les haineux d’Israël prétendent qu’Israël empêche les gens de Gaza de se rendre en Israël, ils ne se soucient pas du fait qu’il y a une histoire d’attaques terroristes perpétrées par des personnes qui ont reçu la permission d’entrer en Israël. Beaucoup d’entre eux soutiennent de telles attaques.

Il n’y a aucune incitation à attaquer des souccot pendant les fêtes en dehors de l’antisémitisme pur. Cela ne vise pas seulement à endommager un symbole du judaïsme, mais aussi à blesser des Juifs innocents.

Il s’agit du Fatah, le parti politique dirigé par le président palestinien Mahmoud Abbas.